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Show UH "•' • • • ^ •B i*> L E J E U N E fennel qui vont fondrechez vous. Embraffe-' moi. (apres f avoir embraffd.) T a vfie m e de'chire le cceur. (IIfort avec precipitation.) S C E N E XI. A D I S, feul. Je ne mcn'tois point le malhcur qai m'eft arrive; mais aulTi puis je ne pasexcufcrmou ami? Dans le terns que je parlois pour lui a Farzana, & que je m'efforcois de la faire ren-trer dans fon devoir, m o n a&ion & mes paroles m e m e out du faire fou pconner ma ride-lite. Apres cela, peut-on etre trop en garde contre les apparences ? (II fepromene en revant triflement.) %^- S C E N E XII. ADIS, A R LEQUIN, charge* d'unc Vtihfc. ARLEQUIN, apart apres avoir regarde de toutes parts. *2S £?? HVi* donc ? Je me ^rai fans doutcegarc. (Itjefmeletyeux) Non. Voila H V I E I L L A R D . xV u Curate la bas. Je reconnois ce grand che-min, '& cette orniere ou j'ai penfe'tomberen Srt«it Mais je ne vois point la Maifon du s X r Canfou. Ouais! Qu'eft ce que cela veut dire ? H faut que j'en demande des nouvelles a ce Vieillard. (llpfle.) Parlez donc, he'e ! -Bon-homme* • ADIS, feretournantdit apartdouloureufement+ Voici mon Valet! Qu'il va etre fuq>ris! ; .ARLEQUIN. Ne faurie7.-vous point, par haxard, ouet alle un Chateau qui dtoit ici tant6t? A D I &, fanglotant. Ah ! mon cher Arlequin! ... ARLEQUIN. Je ne vous remets pas, mon ami. ADIS. Je te pardonne de ne*ne pas reconnoitre dans l'dtat ou je fuis. A R L E cfu I N. H6, qui etes-ivous donc, s'il vous plafc?. H» ADIS. |