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Show 3$o Li F O R C E L E M A R Q U I S , emWajfantClarin,enTimt, Bon^jour, m o n Fils, bon-jour. C L A R I N. Souffrez,- m o n P<5re, que je vous time* gm mon agreable furprife. ISABELLE, au Marquis. Comment avez-vous pu vous deroberaux affaires qui vous atachent a la Cour? L E M,AR Q U I S. L e Roi m o n Maitre m'envoye a la Cour de Florence. J'ai profite de l'ocafion pour etre a votre manage. He-bien , Ifabelle,. (montrant Clarm.) Etes-vous contcntedece uarcon-la> . IS A B E L L E. J'aurois grand tort de ne l'&re pas; £ E M A R Q U I S. Ces Egypticns nous donneront ce foirune pente: Farce de leur fa*on. Jcm'atens ame bien divertir. wmitram Lilio; Que dites-vous de -ce JDr61e*H > 3Fh U S L' A M O U R . aj» SP 1 N E T T E , bas au Marquis, le tirant par la manclie. m Vous allez tout gater. ' L E M A R Q U 1 S > bas- a Spinette; Point, point, (haut.) Je crois qu'il neft»~ rapas mal fon perfonnage, ISA B E L L E, II a trcs-bon ai.0. S P I N E T T E , bas au Marquis. . Elle y a pris. gout, > c o m m e .vous voye*z. • ARLEQUIN, au Marquis. II y aura tantot bien des gens atrappez. L E M A R.Q U I S. • Allons, m a Nic'cc, allons nous cntrete?* nil dans votre Cabinet, pendant qu'ils pre* pareront leurf&e. 1 <& %' NT *# 3CE, |