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Show 34& LA F O R C E: pies-. Votre Fils lui fait d'abord confidence' du motif dc fon voyage. M o n Freie Tame-ne au logis fe rafraichir. Nous fbuppns en-femble, entrc la poire <3Mefromagc; Le'lio dit a fon A m i : Clarin , jl m e view une idee. Aulieu d & m e preienter i m a Coufine-, qui ne m'a jamais vu;, je fuis d'avis que.vous y al* Jiez^pourmof; & que vous preniez mon nom. N o u s nous deguifcrons , votre Sceur, vos Valets-, Arlequin & moi , en Egyptians. N o u s irons chczltrbdle , c o m m e pour lui direfa bonue.avanture, &jejneferaiconnni- UCJL la fill.- LE MARQUIS, jBnridnt* » Quelle extravagance! Q u e la Jeunefte.eft. SPINET T E, I Mon Frdre applaudit a ce beau deiTeiit.- N o u s faifons faire les habits que vous voyex. Nous vesions, k u Nous ne.faifons pasfem-blant de cdnnoftrr le fairx Lelio. Votre Fils, qui joue fon perfbnnage arayir, a pris galaument-la main de fa Confine, & lui a dit fort fpir^ueileaxtenCv-XiiiilefoJies, dont elle a patu charme'e, L E. M.AJQU. IS. .. #fcliM¥ }4S^m ffejeplaifani... D E L5 A M O U R. 34? ARLEQUIN. Oui, ma foi. S'PI N E T T E. Oh! void bienlemeilleur! EcouteZ; Ifa-belle regardoit votre Fils de terns en terns, en pouiTant de longs foupirs, qui fembloient lui dire : Ah ! gentil Egyptien, que rVetes-vous Lelio? LE MARQUIS, riant. Ha, ha, ha! Je vais tout a l'hcure en it re ayee ma Niece* SPINE TT I, Donnez-vous-en bien de garde. II iTeft pas encore terns de la detromper. Nous a-vous pour cela concert* un denoumenr-qui couronnera cette galante tromperie, &dont vous ferez enchante. Mais il faudroit, Seigneur, que vous eufliez labonte de nous prefer la main. - : L E M'A R Q U I S. ii ty"1^' Vous nave2 qu'a dire- Que fa&^ SPr'NETTE. - Vous allez embraffer votre chere Niecev |
