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Show -,1T- ',* 3H L A F O R C E lui; & moi qui ai le cceur libre, je me hiir, mettre fur le corps cc maudit Lbi de Bo hem,en , qui eft une veri.able enqueue dc fnpon, rcpouvantail des VovageuV&pJt m a n de la Marechauilee. M a foi qu Seigneur Leho fe tire de la c o m m e il pou - ra; pour m o , Jc vaisjetter le froc aux cries. Audiahle Jcs Egyptiens & les E«p-tiennes! b,p SCE N E IX, ARLEQJJIN, LAURE. LA URE, jfui aentendufes dernie'resparoles lui fait la reverence, en lui dfant: Je vous remcrcie pour le Corps en gcne?- ral, & pour moi en particulier. ARLEQV IN ^part. En voici une bien e veil lee. U A U R E. Comment done, Camarade ? Vous me Wroifla deja de'goiitdde la profellion. A RL E QUI N. Qui-., morbleu \ i'en fuis degoute. LA m D E V A M O U R. 3^ LA U R E. Eh!< la, la! Ne faites point tant dc bruit. Nous ne voulons que des gens de bonne volume. II n'y a qu'a vous 6ter votre habit > , & vous laiffer aller. A RLE QUI N; - « Volontiers. Ellefe met en devoir de le deshabiller. Arlequin • la con fide re ; ,& la tronvant jo lie , il lui baife d\ibord la main. Elle lui tire une manche; £3? pendant qu%eUe lui the I')autre, il remet fon bras dans la premiere. Elle revient a celle-ci \ & lui • tirant encore le bras de dedans, il remet I*autre dans P autre manche. Ce quife repete trois ou qua". trejois.de Juite, & fait dire * Laure : LAURE. He bien, qu'efl-ce que c'eli donc que cela? Nous n'avancons point. ARLEQUIN, riant.' He, he, he'! Pardqnnez- moi, cela ell bien avarice. . L A U R E. Oui, vraiment. . A R L E'Q U.I N. Vous m e faites faire des reflexions. a 7 LA U~ |