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Show •* LA FORCE rous vous apperceve* que vous ave* f*ki* le portrait d'lfabelle dans votre H S H S ? R o m e Vous m'y rerivoyex au plus It pour le chcrchcr; & quand je vois le ra mlli voila Iebd acudIVvousl; L E' L I O. Je conviens de tout cela. Je te dirai mS-m e que le lendemain de monarrivdeici, im-patient de voir m a Confine , je fortis'pour aller chez elle, fans atendre ton retour..., A R LEQU FN. Je devine le refte. L'Original donna ua fouflet a la Copie. L E' L I O. Tz te trompes. Je n'ai point vu Ifaberie. E n allant la voir., je rencoratrai dans la rue une perfonne qui m'en 6ial'envie. Uneieu-ne Egyptienne m'aborda, <5c s'offrit a medi-te m a bonne avanture. ARLEQUIN. J'y fuis. Elle vous regarda la main , k vous fit apparenmeat quelque pre'diclion cor-nue. 3 r LF-DvE L ' A M O U R , SSjr L E' L I O. Non , ce'nt fut point par fes prdd ici ions. qu'elle m e derourna de m o n mariage, cefurt paries regards. A R L E Q U IN, Comment donc? L E' L I O. Mon cceur fe rendit aux charmes de cette belle Egyptienne, qui meparutuneDivinite. A R L LQUI N. Ah ! voila donc ce qui vous a fait faire la I*GUC au portrait de la Couline? L £' L I O. Et c'eft ce qui m'emp^cheraderemplirlV rente de m o n Pcre. A R L E Q U I N. •A0*1^116 non* Vous en ^vierrdrez bien-tot a Ifabelie. L E' L I Q. Jamais. AR- |