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Show ifo LE J E U NE ^n^^mmmmmm*^^mmmmmmmm»9mmm^^^mmm^^_^^__ SCENE XVIII. & Dcioicic. ADIS, ARLEQUIN, CANSOU, C A D I G E , GENIES&GlNEs! CANSOU. Bani ta frayeur, Adis. Tu vois Canfou, & ta Maitrdle. A D 1 S, embraffant Canfou. Ahi Seigneur.... Ah! Cadige.... CADIGE. Eh! voila Adis! ARLEQUIN, fautant au con de Canfou. Soycz le bien venu, Seigneur Sorcier. Vous ne pouviez arriver plus a propos. CANSOU, i Adis. En entrant dans la Caverne dc laMonta-gne Rouge , j»ai pris un dts Livr.es de Sche-habeddm, ou il eft raft mention de rifle des Vieillards. Charm* de cette dc<couvcite, }e t ai* par un fonge, fait former le deflein d'al- JCi • Ley lan i & lois que je t'ai fu en pleine mer , V I E I L L A R D . 5»J mer fai fufciti une temple qui a jette ici .tonvaiifcau, prdvoyant ce qui devouamver, A R L E Q U IN. L'habile homme! CANSOU. Pour comble de bonheur, je viens d*e dd-couvrir dans un autre Livre le fecret defor- •tir de la Caverne & d'y rentrer quand il m e plaira, & je m e fuis a finltant rendu ici, pour te titer rnoi-meme du peril ou tuetois. ADIS, lui baifant la main. Que ne vous dois-je pas! CANSOU. Je vois, mon Fils, avec plaiiir ta pafTion pour Ladige, & la joye qu'elle a de trouvcr lbn Adis dans le Vieillard qirVle n'aimoit point. CADIGE. Je ne fuis plus fache'e contre lui de mV voir amene dans ce Pai's-ci. > . ARLEQUIN, a Cadige. On ne vous trompoit pas, comme vous voyez. |