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Show <so6 LE J E U N E S C E N E XIII.., ADIS, ARLEQUIN, MUL KARA, N O U R. M ULKARA, a Arlequin. C'eft apparenmont-la le Vieillard enquef-- don? A R L E Q U I N . C'eft lui-meme, MULKARA, kAdis. i Seigneur, j'ai I'honncur de vous presenter m a Fille- Je ne la crois pas indigne devotie' enoix. Regardez-moi cela. ADIS. Elle eft fort aimable. NOUR, faifant la reverence. Rien n'eft plus obligeant. Voila un Seigneur bien agre'able! ADIS. II eft alTez nouveau qu'un homme, fait com- V I E I L L A R D . MULKARA. 207 Oh! ne vous eft dtonnez pas, Commej'at toujours eu en vue de donner m a Fille aun Vieillard , j'ai clevdNour parmi la plus pc-tulante jeunefte de la Ville. ARLE Q U I N, Voila une bonne ecole! A D I s! La metode eft fingulidre.. M U LK-A R A. Et tres-excellcnte. Une Agnes, qui aura toujours c'td renferm<5e dans une bouteille, . fera p!ut6t une folie, qu'une fille Ikhdc aux Galans des la Lifiere. ARLEQUIN. C'eft pourtant en allant aux bois qu'onefV mang6 des Loups. MULI A R A. J'ai voulu que la mienne frequent^ tous iesjcunesEtourdis. Pourquoi? Pour lui fai-re, par elle-meme , toucher au doigt leurs S T t C^r une. FilIe m ^fentpointdans la bouche d'une Mere. r . ARLE* |