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Show w» L E J E U N E lever m a Fille de fa con, que je ne lui ai jamais per mis de voir aucun hommeaudeflbus de quatrevingt ans. ARLEQUIN. C'eft 1'entendre! Je vais vous amener mon Maitre (apart) j'ai bonne opinion de celk-ci. S C E N E X. B A N O U, A M I N E. BANOU. Jc te l'ai die mille fois, Amine: II n'y a que les Vieillards qui foient aimables. Je fouhaite que celui-ci te revienne. AMINE. Mon Pere, je me conformerai tofljoursl vos,feiuimcns. B A N O U. Je le vois paroitre. Mais il n'ariendere-butant, ce Bon-homme-la. AMINE. Non,'. vraiment. *s S£§- V I E I L L A R D. ao* S C E N E XL BANOU, AMI N E, ADIS,1 ARLEQUIN. ADIS, d'un ah deliberi. Vous voyez , ma Belle, le rare parti qui vous eft propofe. N e fpyez point reWoltee contre les apparences, je n'ai que les dehors d'un-Vieillard. A R L E Q U I N. Oui. C'eft un Moineau franc dans la pea* d*un vieux Hibou. A D I [Si Je fuis gai, tendre , complaifant; je ne fongerai qu'a faire le bonheur d'une femme* BANOUv^j!/fc- He-bien, ne voila-t-il pas unhommead*. rable? A M I N E. C'eft, mon Pere, 1 c plus ragofltant dermis ies Vieillards que vous m'ayez fait voir .>&•'•*' «lm que je ttouve te plu, a m e n gr^. |