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Show *S* LE J E U N E ,A R L E Q U I N. 'II faut voir fi elle nous conviendra. B A. N Q U. Oh! Je yous ddfie de trouver ft paretic dans toute la Ville. a Amine. Levez votre voile, Amine. * Arlequin, Voyez quelle beaut<f, quelle gentillcffe! ARLEQUIN. Oni, elleeftfortjoliG; maislabcaurfn'd pas ce que nous cherchons. BANOU. Je J O M entcns. Vous voulez une fille aeipnt. H a , ha! Vousn'avezqu'il l'c'couta. ARLEQUIN. L'efprit? N o n , ce n'eft pas encore-la ce qu'il nous faut. BANOU. u thl je V,°LS cc ^ue V0US deinandttJ De la vertu, n'eft-ce pas? A R L E Q U I N. «e^efa°nC! N°U* ne fommes PoInt curIcu* BANOU. V I E I L L A R D . f$ BANOU. Que diable cherchez-vous-donc ? ARLEQUIN. Une fille qui ait un gout a rebours desautijes^ BANOU. Que voukz-vous dire ? ARLfQUIN. Une fille qui ne foil point efTraye'e d'une barbe blanche, & dont le cceur fe rende aux premiers regards de deux yeux bordez d'c*- carJate. 'BANOU. Amine eft pre'venue que It Patron eft cat fe* de vieillefle ; cela ne Venj^eche point de vouloir fdpouur ARLEQUIN. Pefte! 11 yenabiend'autresquivoudroient letenir: Mais le Seigneur, ^uoi que vieux, vcut qu'une Belle ait de I'mciiuatiou pour lai* BANOU Voila donc fon fait. II fcmble que j*aye prev uecaeoccaiion: J'ai toujourseufoincf e- A 4 i^vejt |