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Show tfi L E JE U N E F A R Z A N A; c Gte^oi de mes yeux. Grain le retour da TO R G U T, Apart, fe retire. . T u m e la payeras. S C E N E VI. F A R Z A N A, fettle. Lc Mlferable ! Si un monflre petit fe fla* ter qu une femme approuvera fon audace comitum u a -Joli-homme ne lera-t-il pa» te- S C E N E VII. F A R Z A N A, A D I S. A D I S , lui prefeniant m bouquet. Madame, (pnffte?. q^ejevpqsprcfenteces' flours que je View de cueillir. Apres avoir fau 1 omcrnent de la pruiric, ellesvont fe-rfrtr- ftr le tern deFarzaaaMeurfortnepou- *oit are plus glorieux. i"•/*i FAR-V T E I L L A R D . I;J> F A R Z A N A. Adis, votre atcntion m e charme. Vous nfetes d'une grande confolation dans lfb» fence de Canfou. A D I S. Je ne puis trop marquer de confideYation pour une perfoaue qui lui eft fi cheie, niaf-lcz reconnoitre les ponttx qa'il a pour moi. F A R Z A N A , II en eft bien payd par le bonheur qu'il a de vous avoir; yotre feul mdrite eftdignede tout ce qu'il fait pour vous. A D I S , confus. Madame, F A R Z A N A . Le voila done parti > A D I S. Je partag* avec vous la douleur de fon eloign ement. F A R Z A N A . Ah! ne croyex point, Adis, que fon ab-fence m e faffe beaucoup de peine. ADIS, |