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Show I ,6 g T R A I TE des devoirs de la Religion , & dans " ce dui v a un rapport plus direft, " mais dans nos adions meme ks plus nes ; & par conlequent dans divertillemens & nos rejouif- >> >> mais commu >> >> nos fances. » C H A P I T R E VIII. \J N E fepticme objedion qu'on fait pour foutenir les danfes; c'eft que fi elles etoient audi dangereuies que nous ledifons.il n'y auroit pas tant de Con-feffeurs qui permettent a leurs; Pemtens & Penitentes cette forte de diveraffe-ment , ou qui ne s'y oppofent que foi-blRdponfe. Jc demande fi l'autorite de ces ConfefTeurs fi indulgens, eft preta-rable a celle 4cs Dodeurs dont ,a. rapporte les decifions contre les dank S S on qu'ils ont plus delj.tn.ereS Soidte & qu'ils font plus habdes dans J X d e coniure les ames; que « a, * TWrs ? O n ne donne a la conduite de ces Lonien-uL> ^ « pLifans au fujet des danfes, la fL COHtt. Its .DAtin, x6 rence fur la doclrine de ceux que PE-ghfe revere comme fcs D o d e i L , q ue parce que leur facilite eft plus confoSne aux defirs deregles du coeur. Mais n'eft ce pas-la plutot une raifon de ne s'en pas^apporter a leur jugement, puifque tout ce qui s ecartc de la voie etroite & tout cc qui appartient a la voie lame ! eft reprouve par Jefus-Chrift. O n veutfe prevaloir de la multitude des ConfefTeurs indulgens pour les danfes ; mais nc fommes-nous pas avertis par Jefus - Chrift, de nous garder des faux Prophetes? (Matth. C. ?. y. z4.) Et que, fi un aveugle conduit un autre aveugle , lis tomberont tous deux dans la fofife. ( Ibid. C *. t* 14. ) ° On lit au III. Livre des Rois, (C. z z.) que pour un feul veritable Prophete, nomme Michee , qui cut le courage de dire la verite a Achab, il fe trouva*qua-tre cens faux Prophetes qui ne cher-chercnt qu'a le flatter , & qui en Paflii-rant qu'ils lui parloicnt de la part de Dieu, qui ne les avoit pas envoyes , lengagerent dans une entreprife qui lui couta la vie. Apres un tel exemple , cit-il permis de fe raffurer fiir la mill- M iij |