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Show ,6 D0NTRE IBS UA • .a^cedivertilTement.alerecher. voir dans ce m f • gme pour peu Chf & "•«! k faire avec bienfeane, qu on Pu l U e s-arreter a regardetles Enfin on nc pent a * t^moin ^tsfa"uodefamUiarites&delibet-de beaucouo d e t a ^ ^ ^ fonnSTdfentfeae onendanlam, ou aorfes avoir danfe. Et combien cette vue %-clle -capable de prodture dam Vame de roauvaifes penfees & de ma,, vais defirs , qu'on ne pent pas alors due Itre involontaires puifqu'on veut ce qu. les produit I r. f V o i d encore ce qu'enfeignent fur cela les Miniftres Ptoteftans dans leur c hap tre dixicme de leur Traite con, £ danfes. II eft ft eonforrae aux pnn- • A. la. reli";on & fi fohdement r^ut^tre que tres utile de le «. fous les yeux des cathohques. « S il eit ''Sen? & felon que nous fommes en- " S s reorder avec difcretio* ' voulons frequenter; car il neit ^ CONTRE I E S D A N S £ S f „ res de gens, de pear que tombant „ en compagnie de gens dereglds l'on „ne communique au mal, & q U dc „ mauvaifes paroles ou actions on n'en „ remporte quelque vice.... Ii faut ufer „ du confei! que les anciens conciles „ donnoient jadis aux Chretiens quand „ ils feroient en quelques noces : qu'ils „ mangeaflent fobrement 6c honnete- „ ment, & les tables levees, fi les menef- „ triers entroient pour commencer les ,, danfes, qu'ils partiflent de-la. Que ,, done ils fe retirent, & s'ils ont fait ,, une faute d'etre approches de telles „ aflemblees du monde, qu'ils n'ajou-f) tent une feconde faute d'etre ou par- „ ties, oiHpeclateurs des adions , lef- „ quelles ils doivent condamner. Mais „ cela fera mal pris difent - ils , de „ laiiler la compagnie. Soit, la faute ,, en eft aux autres qui vous en don- „ nent Poccafion ; car quand vous aurez », etc appelle par vos amis , 6c ferez- ,, la avec eux tant qu'ils vous fera per- „ mis pour votre falut 6c honneur „ yous aurez abondamment fatisfait i ,, l'amitie; mais que pour chofe aucune i, vous oubliez les devoirs de votre pro- II ielTion, ii n'y en a point de raifon> |