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Show T R A l T E CHAPITRE * £n c0„v<«*«' iuc Us danfes doinnt ordinairement etre evitees, nc pen, i,< nermettre du moins aux on pas ies pc< jours denSceSyOU elles font d ujap par-tout ? <* , les danfes entre des perfonnes de detent fexe , & for - tout de ,eunes Srfonnes, font toujours pour le moms S a n L e u f e s , c o m m e on ne peut ta.fi* L P „r cn douter apres toutes les nablement cn rio P ^ & ^ preuves qu on cn a > L« reflexions qui ont ete taitcs, usui particuiiei , < nfi: Lntente dc quelque""J^y paffc d'une roamere digne ue CONTRE tES DANSES. qmdojt etre dans les Chretiens, comme dans 1 h.fto.re du mariage du jcune Tobac: avec Sara. Le Saint-Efprit dit element: (c9.f.zz_)(^tedans le rcpas meme des ndces tout ft pafTa. felon la crainte du Seigneur. 11 n eft que n o p ordinaire que dans les feftins des ndces les regies de la temperance ne toient pas oien cxaclemcnt obfbrve s qu'on y chante des chanfons mauvai-fes, & qu'on y tienne dcs difcours inde-cens; & quand des jeunes gens viennent a la aanfc deja echai par ies chanfons lubnqucs qu'ils ont chantes ou entendues , & par les difcours tres-indc-cens qu'une infinite de gens ne rougif-fentpasde tenir a loccafion du mariaee qui fe celebre, combien eft-il facile je dirai m e m e inevitable, qu'ils foient fortement excites a la volupte par la vue des jeunes perfonnes d'un autre fexe, au milieu defquels ils fe trouvent & par la ties-grande familiarite que k danfe leur fait avoir avec elles ? N'eft-ilpas egalcment a craindre pour ces jeunes perfonnes d'un fexe foible & fragile que l'efpnt impur ne profile de |a pre-fence des jeunes gens avec qui elles font, « de tout ce qui les environne, pour 13J |