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Show T R A l T ^ » » a f T l i l'on vent encore, c'eft " Ta l ; l r une droite fobriete en fon „ de garoci _ b U n >aux autc(j " T t S V e l a vk ; afin quejulqu'a „ pait.c» ait rien q m ne foit „ nos pas , ii n y ^ m(.f femoienaEecle vciiu. " de nos pas que la parole de Dieu " nous recommande, non pas dc gar- "dermefure a faire l'homme vain en " une danle , & cependant en toutes " fes a&ons marcher k 1 etourdi & en " fes confeils, faits & paroles, ne gar- " der mefure ni raifon THAP V. De-la paffant aux folatrenes & gaic-tes derdglees, qui font l'ame de la danfe, Miniftres pofent un pnncipe , trop Ks ne devroient cependant jama, Serdrede vue: c'eft que ccquandlhorr, P e t fidele ufe de la recreation ce " n'eft pas tant pour le plaifir, a u, " m e n t ce ne feroit pas recreation " S il en ufe pour autres fins me • " S e s & plus nkeflaires, commeii " b o i e & du manger. . A p p l et CONTRE IES DANSES. 105 ;e lefquelles ils s'elcvent; ils difent: Quand on voudra confronter telles gaietes avec les regies de la conti-nence 6c fobriete chrcrienne , il ne fe tronvera point que ce foient cho- Ces que Ton puiffe jamais accorder. Ces regies font d'etre fobre, modefte , 6c reflirres en toutes les parties de Fame ; de n'aimer point le monde , mais de le tenir en mepris 6c ies voluptes , pour avoir fa conver-fation aux cicux ; de fe rejouir comme ne fe rejouiiTant pas ; 6c ce qui eft encore d'une abftinence plus etroite, de veiller , de mortifier Ces membres, crucifier fa chair 6c Ces convoitifes , matter fon corps, 6c le reduire en fervitude, a"aller plutot a une maifon de deuil, qua une maifon defeflin;(Eccl. c. 7. y. 5.) c'eft -a- dire , d'aller chercher tout ce qui reflerre nos gaietes par une representation affidue de la mort; bref, de s'employer a fon falut avec crainte 6c tremblement. ( Phllipp. c. IL f. zz.) Voi!a des comman-demens pour tenir de court notre chair 6c nos folies , 6c non pour lacher les renes a la chair, 6c la laif- E v |
