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Show T R A I T & e *, mauvaifes de leur natutc gereufes & «a relifant ce que ce qu'on ^rr^oncile m mdlo, i i-apporte au dc ^ ^ Sl ^ troiltemc y particulierement •2 M« divertilftmcns n etoiento; m::remnt pratiques que ces jour, ^ ^ t S n s f e s c a i n p a g n e s . c e, % encore aujourd'hui que trop ?,n & qui occalionne les mem« ^ r les mimes defordixs, dont ksC cUe'sfeplaig"o''ent- A " r C f e ' e n : knt de ces fefordres, des dangers,: naaux q«e f « to " n lder£r te danf« en general,^ n'a, pas pre, on'ils fe trouvent tous reums clans c June en particui.er; mais je tm nu'i! n'eft aucune danfe dans lip quelqu'un au m o m s de ces maua ces dangers ne fe trouve , & «a. fit pour qu'on doive ks interd.rc a; Chretien. CONTRE LES DANSES. 67 C H A P I T R E V. Temoignages dc Zvtques dans leurs Inflruclions Paflorales , des Cati-chifines, & dcs Theologiens centre Its Danfes. J E pourrois me difpenfer d'ajoutcr de nouvelles autorites a celles dcs Saints Peres & des Conciles que je viens de citer. Mais puis-je faire trop d'eribrts , 6c employer trop de moyens pour m'op-pofer a un defordre devenu ii commun, 6c dont tant de gens cfent prendre la defenfc, non par lumiere , mais par prevention pour les coutumes 6c ks maxi-mes du monde , ou m e m e , parce que livres a l'amour de fes dangereux plai-firs, leur cceur ne peut s'en deprendre? Dans tous les temps ks Eveques les plus eclaires 6c les plus zeles ont donne des inftruclions paftoralcs pour cxhor-ter les fideles a eviter les danfes , 6c les Cures attentifs au bien dcs ames con-fiees a leurs foins, n'ont rien neglige |