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Show t X B. A 1 1' E j ^ . ,nvcns poVitiques qu'il pro- Entre les n ^ Y ^ J Vautorite tempo-pofe a ceux qu ^ pou^y,r aucuM « U c > 1 C ? £ u e dc danfes. Le fecond, ecole P»Dl"J" k des amandes ceux qui de condamn ^ ^ fon pour fc P?eMe°es dc danfes. Le ttoilierae,, affemblees w arc\\lcs amandes ecus condamncr a u ^ d danfant dffli f f U L q U danVle places uublique, enrceMiniirreProteftant,i'enjoy™ fX^nS^i* ^ 1 f a h a t Evangile.es EglifaFa S^o^S.CeTraitaete> ' Z X6T) , chez Francois Eftw ^ u d i ' m a p r e f f i o n n'eft p o « v ' M l pone pour titre: Tm I Chretiens de danfer. *l Get 3mitres employent tor Trakeamontrerparungrand* Iftuor^sdcsfaUsEen^^ CONTRE LES DANSES Peres, & par les plus fortes raifons que les danfes doiventabfolnnaentetreintlr dices aux C aret.ens ; & ils le finiflVnt en" repondant a plufieurs des raifons qu'on alleguo pour les ,uftifier. Lorfque j'a" oris le meme plan dans le Traird Que fe donne jenavoas pas encore lu celui d s Min.ftres;ma,sce plan eft fi naturel & fifimplcquilfeprefencedelui-meme a 1 clpnt. Je vais donner une analyfe & un nombre d extraits de ce Traitc- excellent en lui-meme, & quoique le Francois dans lequel ,1 eft compofe, foit remplj de termes furannes , qui ne font plus nontenant en ufage, cependant vou-fant donner les extraits avec la n1i« exade fid * e, afin o u W f o f p l u s t t che de la force avec laquelle les Minifies, auteurs du Traite , ou qui l'onc adopte, pat-lent contre les' danfes, je ne fuppnmera, nine changerai de cei te" mes, fi ce neft peut-Stre quelques-uns enpetlt„ombre,quiferoienqtton-fti rnntelilglbles,ou qui exprinaent d'une mTeqru'orn°f • g r ° f f i " e 1C VicC d e ^ £ des d ^ fa" ™ ** r « . & le fruit D'abord dans l'Epitre de'dicatoire au En |