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Show r; DJSC0URS cours libres, en s ej-pliquant en-core p us dangereufement par de8 S a r S s immodeftes , & men* mfand ils le peuvent, comme ils ?e peuvent &: 1'ofent prefque to* o m s , par quelque attouchement, E n verite , M . ft je n avois pas 1'honneur de vous connoitre, |C croirois qu'en m e feifant une telk queftion vous ne parlez pas fen* fement, & que vous ne fonga qu'a vous divertir. Je vous dirt done, pour toute leponfe , qui vous n'avez qu'a confulter vom propre confeience; carjefuisrf hxifqu'elle eft affez dclairde poa vous rdpondre tres-juftement. Mais dites-vous, ce Pafteur te <juelque chofe de plus, il a reM l'abfolution a quelqu un de ies n roiffiens qui avoit ete a ladant fans fe mettre en peine de ies a hortations. Je fuis perfuadM que ce ne fera pas vous qui oto blamer la conduite d un faite qui, fcachantle foible de fesl1' PRELIMINAIRE. xliij Toifliens , & ayant experimente" qu'il ne feauroit s'expofer a un tel peril fans s'y perdre, 6t qui voit m £ m e peut-6tre qu'ils y ont oom-mis des crimes grofliers, croit devoir exiger d'eux qu'ils fe mettent, par une penitence fincere, en etat de recevoir 1'Abfolution avant que de la leur donner. Les Cafuiftes qui trouvent le moyen de rendre fuobables les opinions les plus readies , pourroient 6tre affez in-genieux pour trouver que cette conduite eft au moins probable-ment bonne. Je viens de lire dans Denis le Chartreux, qu'encore que des Re* ligieux puiflent fans crime faire quelque faute contre l'obfervation du fdence, contre l'obligation de fe lever diligemment pour aller a Matines, ou d'employerutilement leur temps:« Neanmoins, dit-ii, la » coutume de s'ecarter dela Regie » & de manquer en ces fortes de » chofes fans sen mettre en peine |