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Show T ilA I T * 10 n AP aid it devois rt. CeV°irCC,Z'filma pncre, & je hi E%'£!Z£ ecru/ *» Ce Pnncipe I f f e demande fi les perfonnes «,„ P ' v Danfes , croienr pouvoir par vont aux D 3 ™ ? > j fecom.s dc Die„ rllts-memes oc tans ie • » i conlerver la chaftete, ouli etant per ua 5 S qu'elle eft un don de fa mifericorde, elles fe preparcnt aux Danfes par de; S e s par W c W e s elles demandent a Dieu d'echapper aux pieges qui font tea dus de toute" parts a cette vertu Co, L n t l e demanderoient--elles El « . nc voyent pas ces meges & la plupr, nefentent pas afleztepnxde la chattel pour craindre d'y tombcr; tna.s je (up-pole qu'elies le craignent, & que m Liter ce malheur, il leur vienne ai nenfee dc fe recommander a Dieu pen: L e en garde contre tout ce qui pM attaquer leur innocence : quelles pna feroiene celles qu'elies feroiem a,or; pour en demander la conization,! quel effet auroient-elles devant Die N e feroit-ce pas plut&t linfulter que, prier, de lui demander de ne pas ptn dans des dangers aufquels on s eapofr roit par fa propre faute , apres ce« afiexpreaTementdit;Ct/«/^*"«« CONTRE LES DANSES. it peril, y perlra ? ( Ecclef. c. 3 , if. 27 ). Le St Efprit ne dit pas, celui qui eftpar ncceffitc dans le peril y perira, mais celui qui Vaimt) ( & on i'aime quand on le c he re he ). Dieu vent bien nous aider dans les tentations qui nous arri-venr par neceflite , 6c que nous ne fcau-rions eviter; mais il abandonne aife-ment ceux qui les recherchent par choix. J'ai dit en fecond lieu des Danfe? que je combats, qu'elies fe font au fon des Inftrumens 6c des Chanfons; 6c ce fon frappant agreablement les oreilles , n'a-t-il pas foil vent pour effet d'amollir le coeur, & dc le difpoicr a recevoir les plus funcftes impreifions? Ce qui fe chante alors n'exprimant pour Pordi-nairc qu'un amour impur, en portc fii-cilement les dangereufes etincelles , ou meme les flammes dans Pame. Si en chantant on n'articulc aucunc parole, les airs qui fe jouent fur les Inftrumens rappellent fouvent a fefprit des Chanfons trcs-mauvaifes qu'on a cu le malheur d'apprendre , 6c qu'on n'a pas ou-bliees; & fuppofe que dans ce terns m e me de la Danfe , ni les Chanfons, ni le fon des Inftrumens 6c des Airs qu'on y joue n'ayent pas fait d'impreiTion,pcuc~ A vj \ |