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Show ^XTTUT: LES DA.KS. r ja r , & en autorite , don-nprfonnes cn place ^ v . . a. peuomi^ Y ^o mus, leur eltime mfTent comme jViaceuu* nanent <~ui hommes capa- & leur contiance a oes> § F Mes dc leur donner les avis dont ils hies c\e leur ^ mer fe °nti^ £fficCs &'penUeux attaches LT,p\ois WBcrtttO v^ aux errandes places , ^ r •d to°ut inferet propre & de toute confi. deration humaine , pour dire a ceux qu, les honorent de leur confiance , toutes ks vcritcs qui peuvent leur etre utiksl Ou'il feroit aufli a defirer que ceux qu, font revetus du miniftcre eccleiaftique, n e cherchaffcht, comme S. Auguftin, L c lebien des ames ,. plutot que leurs 1 c ;r.fprets • & a plairc aux horn-oroprcs lnteicts, <J^ "• y t . V mJ & que fans avoit egard \ b condition des perfonnes ,1s enfcignaf-fent toujours , a Vcxemple de leur d,« Makre, la voie de Dieu dans la vene: I o n s foin de demander a Dieu dcs S m ainfi remplMe la lum.tre& de la force de fon Elpnt. Fin de la premiere Farm. TRAIT! •=®?=zm f'S^pSe&S&sSE ft T R A I T E C O N T R E XJS?*S? JD>*AJsr$jgjt CHAPITRE PREMIER. Reponfes anx Obje&ons qu'on fait pouraffoiblh; & dctruire menu, s'il etoitpbjpblt, ce qui a ete dit contre les Danfes. TEllTUttiEN commence fon bel Ouv age de la defenfe de la Religio l-hreticnne contre les Pavenc I g v" " t r'CC n tft P°'nt dtonnee de fa fitua- |