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Show i Z 1 -i - ftut pour les convcrtir, " ° n t V & l n r leur foibleffe& 1« foute. „ que fortaher le« cUnat.ons dont ^ » n,,r Cn°nT& dont als ont honte: mais ''f T ^ h fccurent la verite au lieu de " V ° r q tmner eux-mdmes, & qu'ils "f e C,°ntoar principc , en fuppo&nt „ pechent par p £ & ^ don_ " ^ rv1nferennomd'crreur;iln'ya " n us deremede, felon lecoursordi- " P il a cette double corruption de ] ° ? S & d u coeur; & lajebgionne "peut plus fubfifter parmi des hommes " a u U n font ennemis& par leurs acbons " f L leurs rentimcns.ilarrive rare- 'Centqu'unenationeclaireetombedan , "unobfourciiTcmentfiuniverfel.qud "nedifcernepluslevraildufaux.&ll " ?»fte dc l'injufte. Les crimes qui ont ' » £ choL denoir&de lack font " ?ou ours quelque horreur ; & fi o " v o be ; on n'eft pas affex hanh " lour les excufer. Mais tout ce f " ?lat e 1'orgeuU & l'ambmon to». " e e l conuibuc a la douceur ft: « 5 S £ . de la vie tout ce f , fa , " £j« la^ent^e d, " ° 1 Lurs & fouvent mdme para. - ^ n i i n t avoirs ill la vie des hommes du fiecle. Ceux »qui confervent une lumiere plus pu. » re , font en (j ,t nombre & ont fi « peu d autoritc, qu'ils ne peuvent s op- „ pofer a la chute generale des mceurf: » 6c qu'ils s eftiment h, fx , s'il leur „ eft permis de vivre en particulier , » felon les maximes dont le fiecle eft » ennemi : encore leur echappe-t-il » fouvent, ou par furprife ou par une » complaifance pour I'opinion des au- •> tres, qui a de fecretes racines dans »le cceur, de louer ce qui ne merite » que des larmes , 6c d'approuver ce que v Dieu condamne. » Cette reflexion fi lumineufe ne peut-eUe pas s appliquer fort naturellement aux danfes, qui parol (fen t a beaucoup de gens un divertiffement permis, & dont en confequence ils prennent la de-fenfe, parce que, pour m e fervir des paroles de ce fcavant Auteur, tilts con-trlbuent a la douceur & aux delicts de let vie, 6c que volontiers on appelle bon tout ce qui plait, pourvu qu'il n ait rien de groffierement mauvais: quoiqu'il foit reellement condamnable felon les principes de la bonne morale, & au juge-ment de la verite eternelle ? * Fij |
