OCR Text |
Show T B. A. I T £ 19°c- l^re a chacun cc qui lui ap- ' ' t a i V r t fi tout cela, dis,e,neva " PTearantir ceux a qu. vous pre- " q U A „ faire du bien , de ce qui pou- ''^ofmlnacer leurs corps &leutv,e, " Taflurer kur rcpos contre les entre- " r l 4 s dcs mdchans , a faire que leurs "enfans croiflent comme de jeunes " nhntes , que leurs filles foient parees ." c o m m e un Temple magnihque, que " leurs celliers regorgent 1 un dans la* tre que leurs brebis foient fecon- " des' que leurs boeufs foient gras que " nulle mine nc defigure leurs hen* " ces qu'on n'entende point de cla- " rneu'rs publiques , qu'il n'y ait par,, "enxniqucrellenip.oces-vosvmus " ne font pas plus de veritable* ver- "tus que lebonheur de ceux pout "aui'vonstravaillcreznelcraunve. " Stable bonhcur. Je ne crams point " de vous le dire ( & cette modeften- " ; „„e vous louez en moi dans tenue que vous votre Lettre avec ces icuus ^ " de bonte , ne m'en dolt pint em- " v t r V Je vous dis done encore " P fnil* que fi dans les fonffioas* ''" > W o n vous paroiffr.o* „ votre chaige, ou y , ( deces vertus, vous n<t\<- r U CONTRE LES DANSES. T0I f| que dc garantir les hommes de tout „ ce qui pourroit les faire fouffrir felon „ la chair, fans vous mettre en peine „ a quoi ils rapportent ce repos que „ vous tachez de leur procurer, c'eft- „ a-dire , pour m'expliquer plus clai- ,, rement, c o m m e ils rendent au vrai „ Dieu le culte qui lui eft d u , ( car ce „ n'eft que pour avoir plus de moyens ,, dc le lui rendre, qu'une vie tranquille „ eft defirable, 6c c'eft tout le fruit „ qu'on en pent tirer ) ; toutes vos pei- „ nes ne ferviront de rien pour la vie „ oufe trouve la veritable felicite. V o u s „ trouverez peut-etre que je parle trop „ hardiment, 6c que j'oublie cette rcte- „ nue & cette modeftieque j'ai coutume „ de garder dans les Lettres ou il s'agit „ d'interceder pour les criminels ; mais „ cette modeftie m e m e , qui n'eft autre ,, chofe qu'une certaine crainte de blef- „ fer 6c de deplaire , doit ceder ici a ,, une crainte bien plus forte , car je „ craindrois 6c de deplaire a Dieu, & ,, de manquer a Famine que vous avez » voulu qui fiit entre vous 6c m o i , fi >, j'etois plus referve a vous donner des „ avis falutaires. » Qu'il feroit a fouhaiter que toutes Ies |