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Show 210 T R A I T E C H A P I T R E III. 4 nuts avoir pris dans les faintes Situtes des autontes pour la condam- Ventures , aJ £nfmK nation des flames , ) r ! „„r a oes & ks fcrmons des dans lcs ouvrae\CS VT7oi-lfe Mais cue ne faints Dodeurs de 1 Lgldc Mais que ne font pas encote les perfonnes qui tern. nkes de l'efprit du monde prennent la ffifenfc des'danfes pour aftoi ulij- /r ^ r^p ce cm ont cut comic cues St«tsDoae\rs?Cequia,dfe Us animc leur zele kec fujet.ceft <pe de'kur temps ks dan es etoient ,oin.es a fidolitrie , & qu'elies fe fa.foient cn n0nncurdeSfautrcsdiv,n»tes,auk« oueTe danfes qui fe four parm. nous S t de fuBples divertiffemens ou ,1 rfentre rien, c o m m e autrefois ,d, w* faux & fuperftitieux. CUl conviens Jue l'idolattie nayant nluslku parmi nous, ks danfes da, & h u i P n ' c n font pas une fmte;- joura nui . . , COnvient<p ron?eu enTconnoiffantqu*^ K S r « ' a b o r d pour bono* fc CONTRE LES DANSES. llt fauflcs divinites devoient feules fuffire g^ft de ^'oignement a des Ch.et.ens c eft que ces danfes n'etoient infcdecs d.dolatne, qlIe parce qu'elies yeno.entap.ws les facrifices offerts aux idoles , & non pas qu'elies fulTent elles-memes melees a un eulte idolatrc- aufli cette raifon n'entroit pour rien dans les motifs par lcfquels lcs Peres atta-quo. ent la danfe. Quoiqu'il n'y cut point d idolatiie exteneure& fenfible, c o m me dans celle que Saint Auguftin con-damnoit de fon tems, il ne laiflbit pas de les appeller les jeux du demon (Jer.3zz. N\ 6.) Ludos decmonio-rum; parce que, foit parmi ks Payens foit parmi les Chretiens, elles font plaifir aux demons , qui mettent leur joie dans la perte des ames, dont les danfes font une occafion ties-ordinaire. Qu'on falTe attention aux raifons pour lefquelles les Saints Peres les ont li fortement condamnees, on verra que la principal qu'ils ont allegucc, eft, qu'elies font une ecole d'impurcte, k caufe du melange de jeunes perfonnes de different fexe, & a caufe de tout ce qui s'y die, qui s'y fait, & qui s'y voit d'i mi modefte. O r , cette raifon ne regarde- K iij |