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Show I 9, r- rnanstouslcursecarts,pout deles fuivre dansc . 1 J^ IP« ramener. J <- ^ tacher de lea ks r6ponfes que je fecours de Die-M ^ tcS ob)tdions *onRCT" Si folides que ks objeftion. ieront aunt font trivoles. C H A P I T R E IL ^ O M M K nous avons pris dans les ^ T r;tnrrs les premieres preuves iaintes Ecritures s P r ^ q u e nous ^natInlepa'able dcs da, Ve m^e°ft u f f s les faintes Ecritures ^ "' "i V n s vont d'abord chercher de q u e pluhe ursvot ^ & . du Uvrc dc li-tc & rww 11 V f K* £ ils croyent Je J*UUrxiS autorite ks danfe u-ouver ^ 0 1 ^ k livre de dans ce q m eit dit fc ^ VExode ( c z5V\roiv que celebrant ftopbteffe four ^ g ^ t f fage miracukux de 1 ,,. CONTRE LES DANSHS. 197 tes les femmes marcherent apres elle avec des tambours, form antdes chocurs de muft que. On comprend bien que ceux qui cher-chent & faiiiiTent avec ardeur ce qui a la plus foible apparenee de favorifer les danfes, n'ont garde de manquer deciter ce qui eft rapporte dans le fecond livre des Rois: ( c. 6. f. 1 j,.) Que David rev tin d'un ephod de tin danfblt devant VArche de toute fa force. L'ephod etoit un vetcment court, & different par-lades vetemens ordinaires dcs orientaux qui tomboient jufques fur les talons. Enfin quelques uns precendent trou-ver de quoi autorifer les danfes dans ces paroles de Jefus-Chrift: (Matth. c. z 1. f. 1 6: ) A qui comparerai-je ce peuple ? (Le peuple Juif ) lis rejfem-blent a ces enfans afjls dam la place, qui crlent a leurs compactions; nous avons chante des airs gals , & vous n'ave^pas danfe, nous avons chante des airs trifles, 6c vous n'avez pas pleure. Je penfe que les perfonnes tant foit peu eelairees ck de bonne foi, fentenc deja par elles memes combien ces en-droits de l'ecriture font peu favora-iiij |