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Show X a A T T E C H A P I T R E XII. Ceux qui ont qudque autonte dr,,nt autant quilsle peuvent soppoj, aux danfes, & empecher ecu, (, celles qui dependent d'eux d'y alkr. 1 Es premiers qui doivent s'oppofn ^danL.&enddtoiimcrleplusqud 5£r\ft poflible ceux lot qui,Is ont cuelque autorite , ce font les Mimftres 3e Jefus-Chrift , & pamcuherement les t c „ « & les Confcflcurs. Une de W s P us effentiellcs vcrtus Cell le « pou-r la glotte de Dieu , & pour J falutdu prochain , enforte qu'on pmfe a p p W e r cette parole de 1 ten-r c aPP ql,c ks Apbtrcs reconnurcnt ' T . , * 17 1 avoircteecnts ^ J T f u s ' - Chrift lc fouverain Pata * L lorfau il chaffa les vendean tien pour foi • oft ett fa 5KM3 £Sft £. a. CONTRE L E S D A N S E S. cezele? II doit reffembler k celui de Jefus-Chnft, etant comme lefxen „o! un zele common , languiffant & fan" a&on , mais un zele ardent , un zele devorant; cependant toujours regie par la fagciTc de D,eu & conduit par fon efprit , qu ,1 faut, pour Pobtenir , lui demander avec inftance. Q u e produit ce zele quand on en eft anime ? II fait qu'on ne peut voir fans en etre emu & fans la plus vive doukur, ce qui offenfe Dieu & ce qui pcrd les ames. O r nous avons vu de combien de peches les danfes font la fource , & par confequct de combien d ames dies caufent la perte C'eft ami, qu'il eft dit dans les Acres des Apotres :(c. 77.*-. i67.) Saint Paul etant a Athenes , fori efprit fe Jentit emu dans lui-meme, en voyant que cette ville etoit fi attachee dVnio- Idtrie. Cc faint Apotre dit de lui-meme en eenvant aux Corinthiens: (c it #.»*.) Qu'il efijcandalife, ( c'eft-' a-dire, tcnte & porte au peche. ) Sans f eJe hrf^J C ' ^ comme fi le faint Apotre diloit : Je ne puis voir Dieu ottciile , & quelqu'un de mes freres fe perdre en marchant dans la voie du peclic, fans que m o n zele s'enflamme H iij |
