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Show 6 TaATTK 1 V • FJ \\ ooere enfuite cl » *ortir > & U fn ,e voit dans l'hiftoire „ cles, c o m m e on le vo „ de la refurreaion de la tiiie ciejair, I chef de la Sinagogue, rapport^e pat „ faint Mathicu ( '• f' * \ * b f e *£) „11 n'eft rien de plus agreabe que la , firn de plus doux que la modd- * ^ rien de plus dciirable qu'une :a;nduite%lcinPed'honnctctc.Queles ; noces fc faffent cn la manicre que ,e „ le recommande , & Ion eprouverala a verite de cc que jc dis, que le plaifit l folide fe trouve , non dans ce qui ' » flatte les paffions, mais dans la ptau- „ que de la vertu : Facial quis piam » nuptial qualcs ego dico, & vidtbu » voluptatem. » . . _ ,,. , U n hommc aufli faint & aufli eclaire cue faint Jean Chryfoftbme.ncmcntc. t-il pas bien qu'on Pen croye, plmo que le monde qui eft ft corrompi) & I. avcugle \ ,, . A \ Je ne puis m'empechet d'a,out« k a qu'on vient d'entendrede faint Chryfof- Xrr e ce qu'ont ccrit contre ks danfe q^eVontlu.noc.JcsMimflte^j, ?eftans. du trakc detquds) ai fait pta I • i»U«lvfe Je lc raporterai. dans haut l-.nalvic. J1- v .,.,. . leurs propres termes, comme jai ta»« C O N T R E LES DANSES. t57 1'egard des autres extraits que fen ai donne. C eit dans le chapitre 19, ou parlant des circonftances qui contribuent a rendre les danfes plus mauvaifes , il s'exprime ainfi fur la troifieme: cc'ce „ qui rend ks danfes encore plus abo- ,, minables devant Dieu, eft de les avoir „ introduites aux noces 6c folemnites „ du mariage. II eft vrai qu'il femble a ,, la plupart du monde que c'eft une par- ,; tie principale des noces , 6c toutes fois „ il n'y arien qui leur foit plus con- ,, trairc, fi l'on confidere les caufes du „ mariage, la fanclification ordinaire , „ les benedictions & le contentement „ qu'on y peut deiirer: car le mariage „ eft une fainte ordonnance de Dieu, ,,a l'encontre de rinfflammation des ,, convoitifes, 6c de toute impudicite. „ Tellement, que recevoir aux folemni- „ tes du mariage aucunes chofes qui „ foient pout irriter les convoitifes , „ non pour les eteindre, 6c qui puiffent ,, donner lieu a l'impudicice en quelque „ forte, c'eft renverfer Tordonnance de „ Dieu , la profaner , & en attirer des „ effets tout contraires. O r telles font 1, les danfes, 6c Dieu n'aura jamais >, pour agreable que l'on abufc des |
