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Show r T R A ' T E J i ° „ (Vrver avec la grace de *„*,r Rr coniciVLL a D, , ,, tenir K cu ^^ d donc „ envaede danle acfcenc). " n°tre-al fc oaltre de vanitc. Quel- „ a en vie de u. p am d ''t^dSnonnous,c'eftlamainjtt " ,'1 ; fnrhe de nous tirer en ies ''Srn^perdre.Laillonsce^ " S k u condamne, foyons prudens aux "pro2res dc notre taint; fuyons l« " W x de pecher & fes attachemeas; renoncons au monde: foulons m " I d s tons ces vains plaaGrs LaaS* "Ineur Dieu nous en faffekoisl " Irace, auqucl foit gloire & force a " JNos Lefteurs fe teroient-ils attends \ entendre des Doctors Proteftanspar-le 1 fortement & ft ^dement centre es danfes , Et combien un te exenj doit-il couvrir dc confufion les M e tres de I'Eglife Cathobque, qu, font ;«ftr,uts des resles de la morale, rmon^entS A s faire ob£ aux perfonnes de la confcience defqu 1- ks iU font charges 1 Mais comb.cn ph. Sivent-ils rou|r, s'ils font * . £ rans o« alTez laches pour donner comrr CONTRE LES DANSES. ttt permis ce qui eft en fo; fi , & ce qui perd tant d'ames! On nf trou' cependant que tropde Prerrcs, & m T ° des Confefleurs, qui etanr ;„, r rif ' -' '•cant mterropcs fur ce qu ,1 faut penfer dcs danfes, repo, ! dentqu elles fontpermifes, pourvuq P„'on ne s y pone pas a de certains exeev pus gro/fiers dont un peu d'education & de loin de la reputation , ( ou la rel: g.on peut n entrcr pour rien ) fuffit p o u r le garcntir N'eft-„ pas ,a faire £ ber fur loi la malediflion one Dieu nro nonce par le Prophete Ifaie , icrWil d|t:(c. 5 f.io. Malheur d vous oui dues que It mal eft bien, & que U b)en tjt mal • qui donnei *»* tenebres le nom dc lumens, & a la lumiere le nom de tenebres. Un cele'bre Interpret expliquant ces paroles d'llaie, fait cette belle & Colidl «Jex.on: (M.Duguet, fur lecl,.V diftic, jfr.io.tom. I. p . 3 o 8 & ,oo.) « I y a quelque efperancc^ lorfqleVs "\STZ irTaent ,es r^les > W Muilsnelesluiventpasj&qu'^con. " ™,r lur df vains pretextes. On a»P:«, les conduire k famour de la " 7art. T ^ COnnoiffiln« S"'ils en |