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Show I ne s rciicndant quelle danfe „ plus «im,^1!t nt5s Ue ks Chretiens 11 A n t aioutcnt-113 > 1 r "que faint Paul donne ,( W c. y, " T ) de ne faire jamais mal, ahn que "bien en deviennc.Et quand memelon » £ venu au manage par tele voie ''Ls'enpourra-t-ilenluivre?!], 5> chofe qui prendra la nai ance dan " toutes ces ordures , quelle pourra " t elle etre dans tout fon cours > " Quelle cfperance que Dieu l'ap- ' ~ in? veuille meler parmi ce ,, prouve , <x vtumv, r mii fe paffe de mauvais dans les " danfes, fes benedi&ons? Choies; fain- ' tes fe doivent traiter par moyens taints " & legitimes , & qui veut faire une " bonne oeuvre , il la faut commence. fur meilleurs fondemcns.„ " Tout le Traite eft termine par une conclufion energise & preflante , dont voici quelques traits: cc Et c'eft pour toutes ces raifons que , nous cxhortons nos Eglifesde chal-fer 6c relcgucr ces mauvaifes coutu- " m e s aux enfers, dont elles font venueS] ;;auxfolemnitesdesidoles,aune« d'Herode,bref3auxheuxdedeoau. CONTRE LES DANSES. ,,, „ ches ; car autant d'o.ccaflons de les v juger toutes indigncs de notre pro- „ fefhon, il n'y a pas une feule raifon }i qui nous doive induire de les fnppor- „ter, ni c o m m e chofes indifferences, n ni pour aucun profit au public ou par- „ ticulier. Si notre vie a quelquefois v befoin de relache ou recreation, il y M en aaflezdautres m o y e n s plushonne- ,, tes. Et de vouloir acheter nos plai- „ firs avec telles pertes 6c d o m m a g e s , „ m e m e de nos ames, ce ne feroit pas „ faire prudemment. A u x Chretiens bien „ fages , la crainte d'oftlnfcr Dieu , „ l'amour de la vertu , la garde de leur „ falut font chofes plus chores que tout J} ce qui fe pourroit n o m m e r de piailirs „ aux m o n d e .... Q u e pcrdons-nous en „ perdant les danfes ? M a i s plutot que „ ne gagnons nous pas en recompenfe „ d'un fou 6c vain plaifir ? N o u s retran- ,, chons ce qui eft de tout point repu- „ gnant a notre vocation; nous chaf- ,, Tons tout enfemble mille occafions de „ pecher ; nous rendons a nos afTem- „ blees le n o m de compagnies fpiritu- „ elles, 6c chretiennes ; & pour tout „ dire, en un m o t , nous mettons hors ., de chez-nous ce que nous ne pouvons |