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Show 106 T R A I T* < „ fel abandon dc Us „ fer echapper a un, w ^ ^ ^ „ plaifus . • • • ,s font direae. „ que toutes ces g ^ u$ ^^ }> m e n t contra^ - ^ ^^ „ tranchent tons ce y "Sr , pour s'y repandre en routes fa '' life Rcfte : t - H Pa^r fes gaietes " Saces ancuuesdecraantedeDaeu.de " ouerre contre ks concupiscences e Notification du viceac Mais pkot " k monde y reghe , & fis gaietes y " (ont nourries de toute licence " Et comme on voudroit difpenfer a C B A P . V I - . ffc de ces regies la icveres, les S niftres s'y appbquent parncukre- ZZ a montrer que, bien k m p k danfe foit plus permik dans lap-iffe elk V eft au contraire plus dan-relic ,, UK. ) _ a tytim ' Eepkfpo«ak^o4,kgaiete;k " V JP ell non pas d'accorder ak ' ' ' a e tout cc a quoi telle gaillar- ''S^eft-a-dire.'lafobe&va,, „ dile, ecu k ''V^ou^eoitnuifible^ph ^IraulmrJrksmaladiesdcl^ C O N T R E LES DANSES. 107 „que de les corriger; felon que les „ Mcdecins ont accoutumes envers les „ corps mal fains, 6c inclinans a mala- „ die , d'ufer de regimes plus feveres. u C'ehVle confeil de 1'Apotre : fuyez ,, dit-il, les defirs 6c les paflions des „ jeunes gens. ( II. Tim. c. z.f. zz.) u C'eft un combat que les jeunes gens „ ont a foutenir plus furieux qu'en „ autre age , le diable ne s'oublianc „ pas a ufer dc foccafion , 6c prefen- ,, ter tous Ies plaifirs pour donner force „ aux convoitifes en ce qu'il peut. Or „ en ce combat le danger eft de vou- „ loir ce que les ennemis defirent , 6c „ la vi&oire de fuir arriere 6c s'en „ abftenir ; ce qui fe doit faire en la „ jeunelTe avec une prudence 6c folli- „ citude d'autant plus grande , que „ c'eft le commencement du combat , }) ou faillir 6c donner prife a l'cnncmi, }) comme il advient aux guerres , eft „ un mauvais prefage pour tout le cours „ du combat. . . . Ec partant ( e'eft-a- „ dire ) par confequent , quand l'on ,, dit que la jeunelTe eft gaillarde, 6c ,, qu'on-la doit laifTcr danfer, il faut „ prendre l'argument tout contraire. „ Apres avoir interdic fi feveremens E vj |