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Show *«?* LE JOURNAL contrent dans Vexécution des Loteries com* fofées d%un grand nombre de Billets \ corn* me aujfî 4 éviter les erreurs & les incon* veniens au/quels en eft expofé par les mn« nieres ordinaires* Avec une nouvelle Me* tbode pour tirer les Loteries les plus fortes par un nombre modique de jet tons ou ba» les chifrées y laquelle eft plus [impie & plus facile à pratiquer, comme auffi plus jufte en elle-même que toute autre manie* re qui ait encore paru. Par M. Glover* A Paris, chez Jean Baptifte Cuflbn. 1706. in iz. pagg. VOilà :-un Titre bien long pour un petit Livre, La matière dont il traire eft fort à la mode. Il s'eft fait peut-être plus de Loteries en France depuis fept on huit ans, qu'il n'y en avoit eu par le pafTé durant plufîeurs fiecles. Les Hôpitaux 3 & pîufîeurs autres Eta-bliflemens pieux y ont trouvé leur compte. Il a fallu tenter les hommes par l'intérêt pour les porter à la charité ; & beaucoup de gens ne fongeroient pas à contribuer au foulage-ment des Pauvres, fans Pefperance de .s'enrichir eux-mêmes par la même voye. Les François n'ont connu jufqu'à prefent que deux méthodes pour les Loteries. La première écoit de mettre dans une boëte les billets noirs mêlez avec les blancs 3 & dans une autre boëte cous les nmncr9yt\$t leurs d«vi« |