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Show wS LE JOURNAL fvlufîtano nous explique ce que l'on doit en« tendre par ces mots de fanti parfaite qu'il fait confifter dans la liberté de ce mouvement 'vital 3 par lequel tous les organes de notre corps s'acquittent des différentes fonctions, 4 auoy la nature les a deftinez ; Définition, dont il n'oublie pas d'éclaircir tous les ter. ânes. Il s'applique fur-tout à découvrir d'où peut dépendre cette liberté du mouvement vital ; & il trouve que c'eft précifoment du bon «tat de la bonne conftitution des parties con-tenantes & des parties contenues, qui obeif-Jent fans peine aux diverfes impullîonsde ce: efprit vivifiant ; au lieu que les moindres ob-fîaeles qui s'oppofent au cours libre de celui-cy5 fuffifent pour en dérégler le mouvement) pour troubler l'accomplifiernent régulier des fondions , & pour jetter le defordre dans toute Pcconomie de Panimal , d'où s'enfui-vent les maladies. L'Auteur tâche de rendre tout cela plus fenfîble , par l'exemple d'une épine fichée dans le doigt d'un homme parfaitement foin d'ailleurs, laquelle déregl»toutes- 1^ adions de cet organe par ceîa leul > qu'en dérangeant le tiflu des parties folides du doigt, elle forme comme une digne qui interrompt le cours desefprits, & procure entre les fibres de cette partie, un épanche-raent de liqueur, d'où naiflent la douleur» ¦rinflamtnation & Pabfcés. On fait, après cela , «ne application àt tt caufe générale âe$ Maladies, a la & |