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Show j LE JO U R N AL la NoblefTe, où il fait voir que pour j des privilèges des Nobles , il ne fuffit pas d'être (amplement en pofleffion de la qualité de Noble. Il y en a d'autres concernant les le-gitimations qui fè font par Lettres du Prince ou par le Mariage fubfequent. Les matières traitées dans le fécond Livre font du droit des créanciers contre leurs débiteurs , & de la ceiïion de 'biens. Si l'ufc fruitier de tous les biens eft tenu aux dettes au teflateur 5 par la libéralité duquel il tient fon ufufruit ? De la Icfîon d'outre moitié du julle prix dans les ventes , & fî les conrra-<5tans peuvent déroger au bénéfice de la Loy a cet égard ? Si îe legs de tous k$ biens du teftateur comprend les chofes qu'il avoit ex-pofe en vente ? Si celuy qui allègue la qualité de riche ,& de pauvre, eft toujours oblige de la prouver ? Quand plufîeurs d'une iamille font inorts enfemble par un même accident, quels font ceux qu'on doit prefumer cjiii font morts les premiers ou les derniers? .S'il eft permis quelquefois de punir Tinno- < ,çent pour le coupable? De quelle manière il faut proportionner la peine au délit ? Quand tt >un aceufé peut être puni d'un crime qui a ,dé),a été.intenté;en Jugement contre lui? De je. rexécution des cedules & obligations pour Je chofe ou femme qui n'eft pas certaine ny lï- fte quide. Si on peut appeller'd'une Sentence ar- Hi fcitrale l Si on doit ajouter foy à un feul f inoinD qui n'ajpoint prêté le ferment en-j"* |