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Show toeo LE JOU R<N>A L Sur le troifiéme , voici ce que peafe ^ l'Abbé Régnier. Lors que le verbe eftn peut être regardé comme tenant la place du verbe avoir, il croit que le participe qui y eft joint, & qui en eft gouverné , doit être emploiéin-declinablement. Ainfî en parlant d'une ville, il tient qu'on doit dire? Elle st(l rendu pmfc fante par le comment : parce qu'en cet en. <drt>it , tlle s^efi rendu puijfante, veut dire, elle a rendu foi même puiffante. Suivant cette diftinftion contraire aux Remarques de M. de Vaugelas , qui-paraît à, l'Auteur n'avoir pas aflez bien compris la nature de ces participes conftruits avec le verbe t(ln, on tire des confequences qui femblent fort jufles, mais que nous ne. rapporterons-point ici, de peur d'être trop longs., & parce qu'elles fuir vent naturellement des-principes établis. Au regard du quatrième cas; „ Toutes les 5, fois qu'un infinitif eft joint immédiatement 3V ou non au participe fans le fecours d'aucune 3> prépofition, le participe demeure auflï i* 3, déclinable avec le verbe eflre pris dans la lignification d'avoir, qu'avec le verbe svoif même. Exemple. Elle s'efi fait peindre- E^* s'eft fait universellement admirer. „ Que ^ 3> le verbe régi par le participe , yefl joint 5> parle moyen d*une d^s préposions<i, ou D, dey alors , comme dans notre Langue le m verbe tftre ne s'employe ordinairement dans p lefcns du verbe *twVâ gu*a-vec un prono» |