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Show DES S C A V A N S. n 1 celuy qui ayant abufé de la fceur de f femme, h prend en mariage. « Le véritable Canon renferme bien autre chofe ; le voicy : §^ldam oui erat puelld dejponjata, tjks jorori ^vitium attulit, ira ut eiiam conciperet 3 jponfam autem pojieà uxo-rem duxiî* Ea autem eut vitium erat alla* turn fe fupcavit. Qui confdi fuerant y juffî Tunt decennio inter eos qui confiant recipi fer gntûus definitos. On voit par ces paroles qu'il s'agit là d'un cas particulier, que l'homme ne fut pasfeul mis en pénitence, que fon -crime avoit eu d'étranges fuites, &c. Cette Analyfe eft remplie de pareilles fou* tes» Telle qu'elle eft, l'Auteur l'a partagée en deux parties. La première renferme , à ce qu'il prétend , le Droit ancien , & comprend les Conciles des fept premiers fîecles. Cette première partie eft accompagnée d'une Table qui tient plus de la moitié du Volume. La féconde partie contient le Droit nouveau, & finit par le Concile de Bordeaux qui fe tint en itzq. On fuie dans l'une & dans l'autre l'ordre Chronologique du Père Labbe , €C dit l'Auteur, comme de l'Edition la plus cc accréditée, & l'on peut affurer qu'il n'y u manque rien , fi vous en exceptez les Ca- cc lions en Latin. Mais outre que cela nous cc eût conduit trop loin, la Table de l'Ana- tc lyfe y fuppléera aisément. C'eft un Index u uniyerfel , exaft , & qui contient tout ce u 1 y a de plus curieux & de plus beau £ |