OCR Text |
Show DES S C A V A N S. 95 fonce > jufqtfà ce qu'ils /oient réduits en cen dre . otê qifcn les éloigne de la marmite* Mais on ne nous dit rien des friflbns, dont il femble que l'explication auroit dû trouver \q fa place. On termine ce qui regarde la théorie des Fièvres , par l'examen des caufes du retour périodique de leurs redoublemens & de leurs accès ; ce qui fait l'objet des recherches du vingtième chapitre. L'Auteur fuppofe d'abord que ces redoublemens & ces accès ne durent jamais plus de 2,4. heures. Il trouve enfuite un merveilleux rapport entre le Soleil du grand Monde , qui achevé fa révolution journalière-dans cet cfpace de temps, & la chaleur naturelle ou ce principe de mouvement animal 3 qui eft comme le foleil du petit monde , & qui doit par confequent régler Tes démarche? fur celles du premier. Or comme c'eft à Ta-âioa de cette chaleur naturelle qu'eft dure l'expulfîon de la caufe fébrile ; elle doit s'ac-complir, dit-il 5 en Z4. heures, & Van doit y remarquer un commencement, un accroi£ fement, un étac & une declînaifcn , comme Ion remarqua dans le cours du Soleil , un lever, un midy & un coucher. Cette compa-raifon ne luy fert tout au plus qu'à expliquer aflez imparfaitement la durée des accès, fans donner le dénouement de la principale difficulté , qui confiée dan? cette régularité périodique qui ramené la Fièvre au bout de 24» heures, ou après un intervalle de z<f ou dç |