OCR Text |
Show 434 LE PHARAON. j La COMTESSE. AiR I3I* (Vous m'entendez bien) Vous ne craignez point le hazard. Au jeu vous etes un CCfar. CRISPIN. Madame, enPicardie, De plus, C'eft notre mala die D'etre fort tetus. Tin iour dans une fameufe partie de l *nfauenet qui fe fit dans un mien Chateau V e s avoir vuidc m a bourfe je vous couchai hardiment fur la dame de pique u^four banal qui m'appartenoit : Zeft, vpila le four enleve. OLIVETTE. On peut done vous dire, Monfieur: Fin dc VA i% >»• (u» Mitron de G**ty Ce n'eft plus pour vous Quele four chauffe, Ce n'eft plus pour vous Qu'on cuit chez vous; CRIS-LE PHARAON. CRISPIN. 4 3* II m e refte deux mille piftoles, que je viens brutalifer ici. La COMTESSE. AiR 9S' (*3lu™d on aprononce ce malheureux Oui) Ne perdons point de terns. Entrez, je vou* en prie. J'ai la de gros Joueurs. CRISPIN. Ah ! fur leur friperie ] Parbleu, je vaistomber, & les mener bon train! OLIVETTE. Vous n'avez plus de four, jouez votremoulm.' CRISPIN, a Olivette. Tu badines, friponne. Oh ! quand tu voudras, je jouerai avec toi, Fin de 1'AIR 7^. (Le joli, belle Msuniere) Le joli, belle Soubrette, Ton joli moulin. {Olivette mine Crifpin dans la chambre du jeu.) T 7, SCE- • H |