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Show "i6z A R L E Q U IN M. BLAZONNET, fouriant. LaifTez-moi faire ; je fai cc qu'il vous faut. 1 ARLEQUIN. Combien me demanderiez vous , Mon* fieur Blazonnet^, pour faire puffer une no-blefle en fraude a mon profit ? M. BLAZON NET. Diable ! il y a bien du travail a cela ! Un millier d'ecus... ARLEQUIN. Comment? M. BLAZONNET. En conference, ce n'eft pas trop de mille e'cUb? ARLEQUIN. Je ne fai point marchander ; je vous donnerai les deux fois pour livre de cette fomme la. M. BLAZONNET. He, morbleu ! vous ne favez pas la peine qu'il coute a embrouilier certaiues ro-tures qui... ARLE* T R A I T A N T . iSj ARLEQUIN. Quelle peine trouvez-vous a cela. M. BLAZONNET. Malepefte ! Tenez , Monfieur , pour vous parler net , c'eft que plus le linge eft fale, plus il y faut de favon. ARLEQUIN, en colere. Atten, atten, infolent ; je vais te donncrS du favon , moi. il conduit M. Blazonnet a coups de batte. M. B L A Z O N N E T , s'enfuyant. A l'aide! Au meurtre! On m'affaftine. S C E N E XII. ARLEQUIN, la ROSE. La R O S E. AIR 56". (Pour paffer doucement la vie) Une Dame a tous nous tient t6te, Et malgre nous refte la-bas. ARLEQUIN. Ne t'ai-je pas ordonne, bete, De dire que je n'y fuis pas? SCE- |