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Show 432 L E P H A R A O N. Pour encenfer vos attraits. La COMTESSE, d'un air pre cieux. Quel conte ! quel conte! quel conte! CRISPIN. II n'y a point de conte a cela. Je fuis U n Gentilhomme qu'attire ici le bruit de votre Pharaon. Voudrez-vous bien m y re-cevoir ? La C O M T E S S E. Avec beaucoup de plaifir. ( a Olivette.) Monfieur a Pair d'etre un beau Joueur. C R I S P I N . Ai* *• {Quand le peril efi agreable) O n park dans toute la terre D e Monfieur de Badaudancour. Surtout, jebrillai fort un jour Dans le coche dAuxerre. T e n e z , Madame. J'y perdis ft-ecu piftoles a Brufcambille contre un Languc-ycur dc cochons. O L I V E T T E , has, a Crifpin. As-tu perdu Tefprit? CRIS. LE PHARAON. CRISPIN. 435 II faut m e voir jouer au Pharaon. Jc ne fais pas comme les autres Joueurs. AIR 16. (Talalerire) De leurs manieres je m'ecartc. Je ponte comme un Attila. Je pourfe bravement m a carte - Jufques au fix-vingt'fjr-le+va. Oh! jamais je ne la retire! La COMTESSE, joyeufe^olivette] Talaleri, talaleri, talalerire. CRISPIN. Si je m'en e*tois tenu aux parolis comme un fot, j'aurois plus dedix mille dcus que j'ai lailTczchez laMarquife de Tope-a- tout. - La COMTESSE, bas, « Olivette, Quelle dupe! O L I V E T T E , bas] sola Voila ce qu'il nous faut. Ttme II. ta |