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Show 3iz LE TAB LE AU Mde. „P E P I N, Je ne fai comment j'ai pu durer fi long. terns avec un homme aufli jnfupportabic que vous. D I A M A N T I N E , voulant appaifer Mde. Pepin] Ma Tante! M. PEPIN. Vous rnettez vos lidicules humeurs fur mon compte. O C T A V E . Monfieur Pepin 1 Mde. P E P I N , avec emportement. Mes ridicules humeurs 1 A h ! le vieux fou I Jour de dieu ! Je vous ddyifagerois. Souvenez vous du chandelier que je vous jettai l'autre jour a la tece. OLIVETTE, a Mde. Pepin, Montrez-Jvons la plus fage. M. PEPIN. Souvencz-vous du foufflet que je vous don-nai en faifant les Rois. A R L E Q U I N , a M.Pepin. Souvenez-vous que vous etes Marguiih'er. Mde.' D U M A R I A G E. 313 Mde. PEPIN. N e m'<fchauffez pas les oreilies. M. P E P I N , outre. S\ je mets la main fur vous... Mde. P E P I N , furieufe. Ah! e'en eft trop! M. PEPIN. Je perds patience. (ils fejeuent I'un furVautre, wils febattent*) O C T A V E , les feparant. Allons, Monfieur Pepin, allons. D I A M A N T I N E , / f ; / ^ M^ Madame Pepin. ARLEQUIN, aM.Peph. Mon Oncle. OLIVETTE, a Mde. Pepin. Ma Tante. DIAMANTINE, h oStave. Vous voyez, O&ave , quelle id6. m c donnent du manage les Arbirres que vous aviz choiii*, JI''yv rreennoonnccee anbhffonliumne™n^t.. Tome IL O OLI- |