OCR Text |
Show 3?S A R L E C L U IN TAHER. Oui, choifilTons quelque miferable Etrangcr, qui rdpudie fans peine Dardane. MOUSSAFER. Vous avez raifon. Nous en ferons quitte* pour une centaine de fequins. r TAHER. M'en dut-il couter mille, il faut... Mais quel h o m m e s'oftie a nos yeux? SCENE II. MOUSSAFER, TAHER, ARLEQ.UINe# Gu?ux. ARLEQUIN, fans les appercevoir. AiR 14*. (Vivent les Gueux.) L'Homme de Cour eftefclave; 1 bis. Le Magiftrat Eft bride par fon air grave; Dans fon etat, Le Marchand n'eft pas plus heureux; Vivent les Gueux. M O U S S A F E R , has, afonftls. II paroU Etranger. B H U L L A. ^*»p T A H E R, bas.\ Et m^rne dans la miferc. ARLEQUIN, kparf. Voila deux homines qui m'obfervent avec attention, lis font charmcz de mon air, apparemment. MOUSSAFER, toujours basl A1 R 17. ( Menuet d'Hefione.) Voici juftcment notre affaire. ARLEQUIN, a part, regardant Mouffafitr\ Mais, diable, ne feroit-ce pas Quelque incommode .Commiflkire ? M a foi, retournons fur nos pas. {il veut s'en aller.) s TAHER, l'appellant. St! ftj ARLEQUIN, haut, Stun air embaraffL Ce n'eft pas moi, MelTieurs... TAHER. A 1 R 11. (On n'aime poiftt dans nos for its ) Peut-on favoir, jeune Inconnu, Quel fujet ici vous attire? ARLE.' |