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Show 20 A R L E Q U IN A R L E Q U I N , apart, syappercevantduqui-pro- (que. Celt la lettre de mon Maitrre: Le vilain troc que voila! Le BAILLY, continuan de lire. L'amour pres de vous m'arrete... A R L E Q U I N , au Bailly, Fi-donc, petit malhonnete. Le B A I L L Y , continuant. II veut m'immoler ici... A R L E Q U I N , arrachant la lettre des mams du ( Bailly. Lifr-on mes lettrcs ainfi? Le B A I L L Y. A I R $6. (Ton himeur eft, Catherine) Ce poulet eft pour ma filllc. A R L E Q U I N . C'eft a moi qu'il appartient. Je l'ai recu d'un gros drillc...' Tenez. Quand il m'en fouvient,.'^ (il foupire.) Oof! Le DEFENSEUR D'HOMERE. ti Le BAILLY , reprenant la lettre & ccntinuant (de lire. Ah ! ft votre cceur m'ecoute, J'efpere enfin le toucher! ARLEQUIN, tmnaudant. Oh ! oui* L'eau qui tombe goute a goute, Perce le plus dur rocher. Le B A I L L Y , Ufani toujo%rs. AIR 9. (®u*l plaifir de voir claiid'me) SourTrcz, charmante Angelique. I. ( a Arlequin.) De ma file c'eft le nom. A R L E Q U I N , en colere. Ceft le mien, vieux lunatiquc. Le B A I L L Y. Vous m'en revendez, guenon. A R L E Q U I N , minaudant. A I R 3- (Banmjjons iicil'humeur noirt) Oui, je fuis la jeune Angelique; ^ Je le prouverai claircment. C'eft pour moi qu'un Auteur lyrique A com* |