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Show 3<*8 A R L E Q_ U I N M a chere Balkis, Qu'il ne puifTe faire Ce qu'il m'a promis. BALKIS. Cela le regarde. Apics tout, A I R 130. (si I'on menoit a la guerre) Si, malgre' fa vigilance, Le Fort etcit emporte', II n'auroit, en confcience, Que ce qu'il a meritc\ DARDANE'. Tai- toi, folic Voici le Hulla. Retirons-nous. SCENE VI. ARLEQUIN, unlMAN. A R L E Q U I N . Seigneur Iman , cxpiiquez - moi done, s*il vous plair, les intentions de ces Mef« fieurs. LVI M A N . Jcune-homme , je vais vous mettre au fair. Taher, tils du Maitre de cette maifon, s'tft emporte' ce matin contre Daida-ne H U L L A. 30-Q ne fa femme , a qui dans fa colere il a dit. devant deux tenioins; AIR 7. (Tu croyois, en aimant Colette) Dardand, je vous repudie * Une ibis, deux fois & trois fois. Voila comment on conge'die Sa femme ici, fuivant les loix. A R L E Q U I N . Cela eft bien commode ! L' I M A N. 11 s'en eft repenti, & i) veut la reprendre. A R L E Q U I N . A 1 R 5. (Quand le peril eft agreable) C'eft afiez la. notre manicte. Ahi que de femmes de Paris Seroient mortes, fins leurs Maris,, A la Salpetriere. L' I M A N. Mais on ne reprend point une femme,auffi facilement qu'on la repudie. A R L E Q U I N , D'ou vient? Q 5 .LI- *<:e font les mots dont fe feivent les maris en iep,udiam lews femmes. - |