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Show io6 A R L E Q U IN (a Ledndre d'un air menacant.) A m H . (0n ndime point dans nos forht) Parlez, Monfieur lc doucereux. Vous plait-il dc quitter la place ? L E A N D R E , mettant la main fur la garde de fon (ip'ee. Q u e vcux-tu dire, Malheureux ? ARLEQUIN, au Dotleur. Mais voyez un pcu fon audacc. II fc fera roucr dc coups. Lc D O C T E U R , a Leandre. Allcz, Monfieur, retircz-vous. Jc ne veux point de bruit chez moi. L E A N D R E , a Ifabelle. AiR 8. (Je reviendrai domain aufoir) Si jc ne puis vous conque'rir, bis. Je veux du moins pcrir.! Il met Vep'ee a la main, o^courant fur Arlequin: II faut que ton fang repandu,,. A R L E Q U I N , / * cachant derriere le Dofhur. bis. A moi, je fuis perdu! C O L O M B I N E. Heu! le poltron! Le T R A I T A N T . 207 L e D O C T E U R , retenant le bras de Leandre. Arr£tez, Leandre. V o u s oubliez... L E A N D R E , remettant fon Spee. All x. (ReveMez-vous, belie Endomie) U 6 bien, foit. Je vous facrifie M a fureur. „ A R L E Q U I N . Jc nc tc crains pas. L E A N D R E . Infolent, tu ne dois la vie Qu'au refpeel: qui reticnt m o n bras. A R L E Q U I N . Voila un Rival bien redoutable. A I R 7. (Tu croyois, en aimant Colette) T o n fer eft ta fcule reffource; T u veux te battrc en Eftafner: M o i , jc mets la main a la bourfe; C'eft le combat du Financier. Le Dotleur sapproche d'Arlequin pour lui parlor a Vereiik. Pendant ce tems-la Leandre dit a Ifabelle. L E A N D R E . A u 17. ( Menuet d'Heft one.) Sa uvons-nous, ma chere Ifabelle. Vous |