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Show 296 L $ T A B L E A U Sans adieu. Je vais rejoindre ma MaitrcfTe." ( Elle r'entre.) A R L E Q U I N . Et moi , les Danfeurs & les Sympho. niftes qui doivent fe rendre ici. J'ai'des ordres a leur donner de la part de mon Maitre... Mais que vois-je ! C'eft Scara-mouchc. SCENE VIII. ARLEQUIN, SCARAMOUCHE, en habit de Bourgeois, une corbeille a la nivttt'tre S C A R A M O U C H E . Eh! Bonjour , Arlequjn ! (ih s\mbraf fent.) T u es toujours dans lc fervice , a ce qu'il m e femble? ARLEQUIN. Eft-ce que tu n'y cs plus, toi ? SCARAMOUCHE. J'ai fait une fm , mon enfant. Je. fuis devenu Bourgeois de Paris. Je fuis Con-iiturier. AR-k D U M A R I A G E. 2> ARLEQUIN , regardant la corbeille a"un ceil (d'envie. Bel etabliflement , itfa foi ! Voila de ton buvrage, apj ent? SCARAMOUCHE. Sans doure. Ce font des fruits conrlis q j'apporte dans certe m.u'f>n pour une noce. ARLEQUIN , prenant des confitures dans la cor- (beille. J'en ve-ix g >uief\, pour voir ce que tu fa's fafce: 'A la befogne on connoit i'Ouvrier. SCARAMOUCHE. He-bicn , qu'en dis tu ? A R L E Q U I N , apres avoir mange,en prend en- (core'. T u es bon ConfiCur, pa.blcu ; tu travaii-les a merveilies. SCARAMOUCHE, met tant,ta corWitk du cote (oppofe a Arlequin. * Et toi, de m e m e . .Tudieu ! Vous ues bien ex f! ARLEQUIN, feledant les do'igts. Far q . - as;iq t M u.-.e ii ^elic j u? N 5 SCA- |