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Show $S* A R L E a U I N T A H E R. A I R 13^. (L'autre nuit j'appercus en fonge) N o n , m o n Pere, elle eft trop aimable. M O U S S A F E R . M o n Fils, vous devez l'oublier. Falloit-il la repudier, Si vous... ? T A H E R. Ce fouvenir m'accable; Et, pour retenir mes tranfports. J'ai befoin de tous mes efforts. \ M O U S S A F E R . Vouloir reprendre le foir, une femme qu'on a repudie'e le matin I A I R a8. (Pourfaire honneur a la noce) Quel etrange caraclere! A h ! quel aveugle emportement! T A H E R. Jc ne faurois faire autrement; Vous m e blamcz en vain, m o n Pere* M O U S SAFER. Quel etrange caractere I T A H E R. Jc ne faurois faire autrement. MOUS* H U L L A. if7 M O U S S A F E R . Mais fongez-yous , que fuivant la Loi, vous ne pouvez la leprendre qu'un autre h o m m e ne Pair epoufee auparavant? T A H E R. A I R 77. (Monfieur Lapaliffe eft mort) A h ! que m c rappcllez-vous! Cette coutume cruelle A mon cceur tendre & jaloux Porte une atteinte mortelle. M O U S S A F E R . C'eft une loi commune. T A H E R. A 1 R 8. ( Je reviendrai demain au foir) Puifqu'il en faut pafTer par-la, bis. Prcnons done un * Hulla, Qui ne foit pas de ce Pais. M O U S S A F E R . Je fuis dc votre avis. bis. TA-n,!^° rfqU,un J Mahometana^Pudiefafemme, ilne R'^"4 ^un autre homme ne V*'" cpou-k |