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Show 35>* A R L E Q U IN T u feras empale*, Sce'lc'rat. (a fes faux Archers.) Afas, qu'on le failiiTe. A R L E Q U I N , a genoux. Mifericorde! ( a Mouffafcr.) GraifTez-lui la pate , Seigneur Mouflafer. Cela fait peut-etre ici le m e m e effet que chez nous. TAHER,<?Caltapan, luidonnaut unebourfe. Pardonnez lui, c'eft un Etranger. C A L T A P A N , refufant la bourfe. Diable ! Le fait eft grave, &.., M O U S S A F E R . A I R 22. (Lefameux Diogene) Accordez-nous fa grace. C A L T A P A N . Non. II faut que je fafTc Mon devoir rondement. T A H E R. Ah! donnez-lui la vie, Fourvu qu'il re'pudie Sa femme en cc moment. AR-II U L L A. i9i A R L E Q U I N . Oh! tres-volonrters! Qu'a cela ne tiennc. C A L T A P A N , prenXnt la bourfe. He-bicn foit. Je m e rends-a vos inftances. T A H E R , montrant a Arlequin Dardane quipa^ (roit a la fenitre, T u la vois. T u n'as qu'a la repudier. A R L E Q U I N . A I R 7. (Tu croyois, en aimant Colette) Dardane, je vous repudie Une fois, deux fois & trois fois. Je voudrois pourtant bien, ma mie^ Avoir mieux ufe de mes droits. ( Caltapan fe retire avec fes faux Archers.)l SCENE XVIII. MOUSSAFER, TAHER, ARLEQUIN. A R L E Q U I N , a MtuJJaftr. Et les fequins! M O U S S A F E R . Tien, les voici. R 5 ' 3> |