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Show 444 LE PHARAON. LEANDRE, bas, a Angelique. AI R i z. ( Amis, fans regretter Paris) De Crifpin j'ignorois le tour; Je n'en fuis pas complice. ANGELIQUE, bas a Loandre. Puifqu'il peut fervir notre amour, J'approuve l'artifice. CRISPIN,^ Leandie. Hola, mon Neveu. Saluez votre Tante. LEANDRE. Quoi, mon cher Crifpin, tu as fait con-fentir M a d a m e a notre manage! CRISPIN. Qu'appellez-vous Crifpin ? Ant J*. {Lon-lan-la, derirette) Oh! parlez mieux, mon cher Neveu, LVous venez gater tout mon jeu, Lon-lan-la, derirette. OLIVETTE, a Crifpin. line gate rien, mon ami, Lon-lan-la, deriri. La LE PHARAON. 44, La COMTESSE, en fureur, fe jettant fur (Crifpin. Je fuis trompee! Vous etes un fripon. CRISPIN, lui prenant les bras. Oh! Diftmguo. Si vous confentezau manage de votre Niece avec rnon Maitre en ce cas je fuis un fripon , & je vous rends vos vingtmille^cus; mais, ii vous n'y confentez pas, morblcu, je fuis hon-n^ te-hommc, & jenerends rien. Allons, marche a moi Hotteur. (il veut s'efl aller.) La COMTESSE, I'arritant. Attendez. Jc confens a toaut, pourvfl qu'on m e rende m o n argent. CRISPIN. Soit. Ecoutez, Madame la ComtelTe. Franchemcnt, on a fait fauter d'autres ban-ques a Paris, fans avoir dc li bonnes intentions. LEANDRE, a la Comteffe. Madame, comptez fur la plus vive re-connoiiTance... . T.7 M. MAUS- |