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Show 3*2 A R L E Q . U IN De quoi s'agit-il ? M O U S S A F E R . Nous allons envoyer chercher un horn-m e qui vous expliquera la choie dont il eft queltioii. Entrez. Arlequin, apres avoir fait des faconspour fe de-fendre de pafjer le premier, prend irufquement le devant% lorjqu'il volt Mouflafer qui Je dijpofe a enirer chez lui. Le 'theatre change IS reprefente un lei apart tment, SCENE III. DARDANE', BALKIS. BALKIS. * A I R I. (ReveMez-vous , belleEndomit) Vous excufez fa violence! D A R D A N E ' . Mais... B A L K I S , He% fidoncl Vousmoquez-vous, D'oublier une telle offenfe? Pour moi, jamais... , / H U L L A. 36-3 DARDANE'. C'eft m o n Epoux. A I R 10. (Mon pere, je viens devant vous) Eh ! m o n enfant, ne faut-il pas Pardonner quelque chofe aux homines? lis font nos Souverains, helas! BALKIS. Oui, dans le Pais ou nous fommes; II eft des climats foriunez O u nous les menons par le nez. Mats, Madame, avant que de pouvoir vi-vre enfemble c o m m e a 1 ordinaire, A I R 13. (Joconde.) Songez qu'il vous faudra fouffrir U n fecond hymenee. DARDANE'. A h ! puis-je y penfer fans mourir! La fatale journee! Faut-il que pour un Malheureux M a complaifance eclate! Que m o n deitin eft rigoureux r BALKIS Vous etes delicate. Q % AIR |