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Show 4*4 LE PHARAON, Calment la fureur des perdans. O L I V E T T E . Sans doute ; St fur ces Airs touchans, i Des Joueurs les bouches ravies, Font de belles contre-parties. La C O M T E S S E. II nous faut cela. O L I V E T T E . A I R II. (0^ n'aime point dans nos for its) U n Joucur dc mes bons amis Doit vous amener compagnie: Madame, il m'a meme promis Des Voix & de la Symphonic (bas.) C'eft Crifpin. {kaut.) II amenera," Si vous voulez, tout l'Opera. La C O M T E S S E. Bon. Je vais ordonner tous les prepa* ratifs de m o n Pharaon. S'il vient un gros h o m m e n o m m e Monfieur Maufiadinet, Elu de la Ville de Limoge, qu'on ne le falfe parler qu'a moi. Je veux 1'entretenir en particulier. ( Elle rentre.) SCE-J LE PHARAON. AiS SCENE IV. OLIVETTE,/?^. Ouais! v^ 1 animal eft-ce que ce M o n fieur I'E I u de Limoge, & qu'a-t-ellc a lui dire en particulier? 11 faut que j'approfon-difle un peu cela. SCENE V. OLIVETTE, CRISPIN. OLIVETTE. Ah! c'eft vous, Monfieur Crifpin! J'ai de charmantes nou'velles a vous apprendre. C R I S P I N . De quoi eft-il queftion ? OLIVETTE. D'une banque de vingt-mille £cus. C R I S P I N . Allons, va la banque. O L I V E T E , Hem! S 4 CRIS* |