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Show 32Z L'ECOLE Jepaffois fur Florence im jour..1. P I E R R O T " rmterrtmfant. C'eft une belle ViUe que Florence. Con-tinucz. F R I S T O N. M o n cceur, depuis long-terns paifible, K y croyoit pas trouver VAmour. P I E R R O T. O h , dame ! L'Amour eft un petit Drole qui'fefourrepaitout. F R I S T O N. Laiffe-moi done parler, fi tu veux. P I E R R O T . Continucz, Monfieur, continuez. F R I S T O N. Kl^z.(GLuandje tiens dece jus d^Oclobre) J'appercus 1'aimable Ifabelle Qui revolt fur un verd gazon; Auffitot m e voila pour elle... P I E R R O T. L'amour troubla votre raifon ? N'eftilpasvrai? Vouseiidevintesamou. K U X tout d^n coup, c o m m e m o i ^ D E S A M A N S 323 F R I S T O N. Tu m'interrompras done toujours ? A I R 14. ( Voulez-vous favoir qui des deux) Loin d'aller en Amant fougueux, D'abord lui declarer mes feux, Je voulus du cceur de la Belle Connoitre a fond les fentimens; J'appris qu'un Cavalier fidele Occupoit fes plus doux momens. P I E R R O T. Belle ddcouverte , ma foi! F R I S T O N. Encore? PIERROT. Pourfuivez, Moniieur l'Enchanteur, pour-fuivez.- FRISTON. Etvous, Monfieur Pierrot, finiiTez. Vous commencez a m'impatienter. A I R 50. (jfaifaitJouventrefonnermamufettt) Je refolus de ravir Ifabelle A cc Rival qui regnoit dans fon cceur. O * PIER- |