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Show I 'mseal I i • ,. V'- 1 . < v in • 1 | :' | %Q- ^^^n^m 328 L'ECOLE F R I S T O N. II opere d^ja. J'appercois Leandre & Arlequin qui s'ecartent un peu de leurs Belles. (frappant Pierrot de fa baguette.) Soyons invifibles, pour entendre ce qu'ils difent. -* S C E N E II. LEANDRE A RLEQUIN, FRIST ON&P IERROTm-vifibles. A R L E Q U I N . AIR 173- {D'Jtis.) Amans, qui vous plaignez, vous etes trop heir (reux. L E A N D R E . H e , de quoi, m o n ami, voudrois-tu te plaindre ? ARLEQUIN. Dequoi? Voir toujours Olivette, & la voir fans que perfonne y trouve a iedirt! J'aimcrois autant etre fon mark LEAN-DES AMANS. 32Q LEANDRE. AIR r 7. * ( Menuet d'Hefione.) Rien dans cette retraite aimable D'ailleurs n'empoifonne ton fort: V m s exquis, 6c chere admirable. ARLEQUIN. Oh! fans cela, je ferois mort! LEANDRE. AIR 153. (J e fuis la fieur des garcons du Village) . Tous les plailirs ici pour nouss'afTemblent; Oil voit-on des concerts plus beaux ? ARLEQUIN. Oui; mais, Monfieur, nosjeux toujours ref. femblent , A certains Opera nouveaux. I! n'y a perfonne. Vous compofez ]cs Loges, Ifabelle & vous; Olivette fait l'Am-phuheatre ; moi , le Paiterre: L a brilUote Alkmbleej LEANDRE. Que veux tu ? Nous fommes foumis au pouvoir d'un Enchanteur. ARLE-HI m ^^tffl |